Prendre la pilule est-ce aller à l'encontre de la volonté de Dieu?
J'ai eu une conversation avec une copine sur la contraception au sein du mariage. Et nous sommes opposées. Elle me dit que c'est empêcher Dieu d'agir sur mon corps et donc de lui laisser entièrement la directive de ma vie. Alors que moi jusque là, je pensais que prendre la pilule n'allait pas à l'encontre de la volonté de Dieu. J'ai toujours souhaité avoir des enfants mais 2 ou 3 ans après mon mariage. Je souhaite faire la volonté de Dieu.
>Bonjour paradoxe,
Je ne pense pas non plus qu’user de moyens anticonceptionnels aille à l’encontre
de la volonté de Dieu. Dieu n’intervient pas directement sur votre corps. Il
respecte votre liberté de choisir le moment, Les lois de la nature sont les
mêmes pour tous, croyants ou non. La procréation n’est d‘ailleurs pas l’unique
but du mariage, et c’est votre liberté de planifier la naissance de vos enfants,
puisque la possibilité vous en est donnée.
Ceci dit, avoir des en enfants fait partie du projet de Dieu pour le couple.
C’est seulement la contraception systématique et permanente et le refus absolu
de procréer pour des raisons purement égoïstes qu’on pourrait considérer comme
étant en contradiction avec le projet de Dieu (mis à part tous les cas d’empêchement
majeur (stérilité, célibat choisi on non, risques pour la santé, homosexualité,
etc.). Mais en tout état de cause, on ne peut parler en aucun cas d’un jugement
de Dieu.
Je ne pense pas non plus qu’user de moyens anticonceptionnels aille à l’encontre
de la volonté de Dieu. Dieu n’intervient pas directement sur votre corps. Il
respecte votre liberté de choisir le moment, Les lois de la nature sont les
mêmes pour tous, croyants ou non. La procréation n’est d‘ailleurs pas l’unique
but du mariage, et c’est votre liberté de planifier la naissance de vos enfants,
puisque la possibilité vous en est donnée.
Ceci dit, avoir des en enfants fait partie du projet de Dieu pour le couple.
C’est seulement la contraception systématique et permanente et le refus absolu
de procréer pour des raisons purement égoïstes qu’on pourrait considérer comme
étant en contradiction avec le projet de Dieu (mis à part tous les cas d’empêchement
majeur (stérilité, célibat choisi on non, risques pour la santé, homosexualité,
etc.). Mais en tout état de cause, on ne peut parler en aucun cas d’un jugement
de Dieu.