Liturgie et doctrine décoincés?
Pardon Heinz Birchmeier si je vous ai offensé par ce terme. Ce n'était pas ma volonté. Je voulais reprendre le terme employé par Johny qui demandait comment les protestants pouvaient se décoincer. Ce que je voulais dire c'est que du côté catholique, ceux qui pratiquent l'ancienne liturgie sont souvent suspectés intégrisme comme ceux qui ont rejeté le concile de Vatican II. Par contre du côté protestant, beaucoup de communautés qui pratiquent une liturgie à l'américaine de style nouveau, pratiquent aussi un puritanisme à l'américaine dans leur théologie. Les protestants qui pratiquent une liturgie traditionnelle par contre me semblent souvent moins fondamentalistes. J'aurais aimé que vous puissiez exprimer une ébauche d'explication sur ce paradoxe qui existe sur ce sujet : entre protestants et catholiques d'une part, et sur le paradoxe (en apparence, vous m'éclairerez là dessus) à l'intérieur des différents courants issus de la Réforme d’autre part. Si on voulait être logique, une ouv
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sur le plan théologique devrait amener une ouverture sur le plan liturgique
et inversement.
Bonjour Peregrinus
Merci pour les précisions que vous avez apportées é votre question. Je l’avais
probablement mal comprise. je vous avais répondu en pensant à mon église protestante
de Genève, dans laquelle je n’ai pu que constater que l’ouverture sur le plan
théologique a aussi amené une ouverture sur le plan liturgique, dans le sens d’une grand
créativité de textes liturgiques. Le parallélisme dans le sens de la fermeture
que vous mentionnez à propos de l’intégrisme catholique existe donc aussi, dans
le sens de l’ouverture cette fois, chez les réformés, francophones en tous cas.
C’est vrai que les fondamentalistes s’éclatent Ÿ dans leurs cultes, comme
le disait un questionneur qui avait réagi a ma réponse précédente, mais peut
on parler de liturgie dans des célébrations marquées surtout par la spontanéité ?
Dans les églises réformées qui ont une structure liturgique, l’ouverture théologique
amène donc bien une créativité liturgique.
Quant a certaines églises issues de la réforme où cela ne serait pas le cas,
je n’ai pas assez d’éléments pour risquer une explication.
sur le plan théologique devrait amener une ouverture sur le plan liturgique
et inversement.
Bonjour Peregrinus
Merci pour les précisions que vous avez apportées é votre question. Je l’avais
probablement mal comprise. je vous avais répondu en pensant à mon église protestante
de Genève, dans laquelle je n’ai pu que constater que l’ouverture sur le plan
théologique a aussi amené une ouverture sur le plan liturgique, dans le sens d’une grand
créativité de textes liturgiques. Le parallélisme dans le sens de la fermeture
que vous mentionnez à propos de l’intégrisme catholique existe donc aussi, dans
le sens de l’ouverture cette fois, chez les réformés, francophones en tous cas.
C’est vrai que les fondamentalistes s’éclatent Ÿ dans leurs cultes, comme
le disait un questionneur qui avait réagi a ma réponse précédente, mais peut
on parler de liturgie dans des célébrations marquées surtout par la spontanéité ?
Dans les églises réformées qui ont une structure liturgique, l’ouverture théologique
amène donc bien une créativité liturgique.
Quant a certaines églises issues de la réforme où cela ne serait pas le cas,
je n’ai pas assez d’éléments pour risquer une explication.