Une hausse de 2,9% par rapport à 2002, soit la plus forte enregistrée depuis le début du siècle. Parmi la population masculine, le pourcentage atteint même une personne sur 75, puisque seulement 100'000 femmes figurent parmi les détenus. Cette augmentation contraste avec la diminution du nombre des délits, et son explication résiderait selon l’administration dans le durcissement des politiques pénales durant les années 80 et 90, notamment vis à vis des récidivistes.