Animatrices hispanophones, travailleuses sans-papiers solidaires qui ont eu le courage de témoigner, membres du Collectif des travailleuses et travailleurs sans statut légal, médecins de l’Unité mobile de soins communautaires de la policlinique de Médecine de Genève, chef de clinique de la policlinique médicale de Lausanne, psychologues, sociologues, psychologues et psychanalystes se sont retrouvés nombreux à Genève pour partager leurs expériences, analyser l’influence du contexte politique actuel sur les migrants et les rapports homme-femme qui prévalent dans les milieux de l’immigration latino-américaine, répertorier les besoins de ces derniers en matière de santé, mais aussi définir une vision globale de la promotion de la santé afin d’obtenir de meilleures conditions de vie en tenant compte des effets des facteurs économiques et sociaux, psychologiques, écologiques et biologiques