
Aller plus loin sur la question du salut ?
Cher monsieur Boucomont, merci pour votre réponse et pardonnez-moi de vous déranger pour une nouvelle précision : quand vous dites que Jésus nous sauve de l'esclavage, de nous -meme, de notre péché, je suppose que c'est une manière théologique de parler, non ? En réalité, ne serait-il pas plus vrai de dire : sous le regard de Jésus, je me sauve de toutes ces choses qui m'entravent, qui brouillent mon rapport avec Dieu, les autres, moi-meme ? Autrement dit, le salut, ce n'est pas magique, c'est une force, une énergie, une foi qui nous est donnée, non ? merci pour vos éclaircissements !
>Justement, si je dis que Jésus nous sauve, c'est dans le sens de la fin de votre
remarque : cette force nous est donnée.
Est-ce que quelque chose qui nous est donné vient de nous ? non. C'est quelqu'un
d'autre qui le fait, pour nous, voire en nous. C'est donc bien Dieu qui le fait.
Et ce n'est pas qu'une image, une métaphore.
Comment expliquer une libération soudaine par rapport à une servitude, pour
prendre un exemple celle de l'alcool, quand Dieu s'y prend en nous surprenant,
après qu'on lui ait demandé, en nous offrant un dégoût pour l'alcool. Ce dégoût
n'est pas suggéré, surtout pour un alcoolique dépendant. Cette force est bien
celle d'un autre, le Christ.
Et je le redis, ce que je vis, c'est que ce n'est pas du tout un discours théologique
au sens d'une espèce de doctrine qu'auraient mis en place des gens de pouvoir
pour endormir les masses... !
remarque : cette force nous est donnée.
Est-ce que quelque chose qui nous est donné vient de nous ? non. C'est quelqu'un
d'autre qui le fait, pour nous, voire en nous. C'est donc bien Dieu qui le fait.
Et ce n'est pas qu'une image, une métaphore.
Comment expliquer une libération soudaine par rapport à une servitude, pour
prendre un exemple celle de l'alcool, quand Dieu s'y prend en nous surprenant,
après qu'on lui ait demandé, en nous offrant un dégoût pour l'alcool. Ce dégoût
n'est pas suggéré, surtout pour un alcoolique dépendant. Cette force est bien
celle d'un autre, le Christ.
Et je le redis, ce que je vis, c'est que ce n'est pas du tout un discours théologique
au sens d'une espèce de doctrine qu'auraient mis en place des gens de pouvoir
pour endormir les masses... !

