Bonjour rispa

Voici comment je comprends ces passages : Dieu étant la fondement de l'Etre, tout être participe à l'être de Dieu. C'est pourquoi  le ne vis pas « pour moi-même », mais je vis pour inscrire mon être dans le projet de Dieu. Et je ne meurs pas non plus « pour moi-même », mais pour continuer à participer de l'être de Dieu, mais dans une nouvelle dimension d'être. Car là où vit le Christ ressuscité, je vivrai aussi. C'est pourquoi aussi je n'ai à juger ni à mépriser personnes, car nul n'est exclu de l'amour de Dieu, qu'il vive ou qu'il meure. La citation d'Esaïe du v. 11, que Paul applique ici au Christ, est en fait appliquée par le prophète à Dieu « devant qui tout genou fléchira ».