Neuchâtel et Berne-Jura : La Vie Protestante fait un tabac
24 octobre 2005
Un récent sondage montre que la grande majorité du public recevant la Vie Protestante est satisfaite, ce qui est plus que réjouissant pour un journal auquel l’on ne s’abonne pas de manière volontaire, mais que chaque ménage protestant reçoit par le biais de sa paroisse
La Vie Protestante est connue par 94,4% (NE) 89,7% (BE-JU) de ceux qui la reçoivent, et elle est lue par plus de 93% (NE) 86% (BE-JU). C’est ce qu’énonce le rapport de la Haute école de gestion Arc, mandatée conjointement par les éditeurs de La Vie Protestante de Neuchâtel (31'000 exemplaires) et de Berne–Jura (21'500 exemplaires) pour réaliser une étude de lectorat, afin de vérifier la pertinence et l’impact de ce média de l’Eglise réformée. Les résultats confirment que les deux Eglises ont visé en plein dans le mille.
Etonnant mais vrai : contrairement à ce que certains pourraient croire, La Vie Protestante n’est pas réservée aux personnes âgées ni aux piliers d’église. Tous les âges sont concernés, de manière assez homogène: les 36-50 ans représentent 29,9% (NE) 27,6% (BE-JU) des lecteurs, les 51-65 ans 27,8% (NE) 26,7% (BE-JU), les 66-80 ans 25% (NE) 23,3% (BE-JU), les 20-35 ans 11% (NE) 13,8% (BE-JU), les 81 ans et plus 6,3% (NE) 8,6% (BE-JU).
Elle ne se cantonne pas au cercle des fidèles du culte, mais touche aussi bien les actifs, les proches et les distancés de l’Eglise, ce qui signifie que l’effort consenti par les paroisses d’abonner tous leurs paroissiens s’avère payant, et que les sujets abordés intéressent un large public.
Autre bonne surprise: les insatisfaits sont rares, puisque seuls 3,6% (NE) 5% (BE-JU) ne s’estiment «pas du tout satisfaits», alors que 81% (NE) 87,5% (BE-JU) des lecteurs s’estiment ou «tout à fait satisfaits» (17,1% NE / 25% BE-JU) ou plutôt satisfaits (64% NE / 62,5% BE-JU). De plus, selon le rapport, les lecteurs sont réguliers, puisqu’ils sont deux tiers à lire la VP une fois par mois (69,8% NE / 66% BE-JU). Une vitrine moderneLa ligne éditoriale de La Vie Protestante, basée sur une réflexion ouverte alliant les problèmes de société, les questions religieuses et la vie des paroisses, se trouve fortement confortée par les résultats de cette étude. Les lecteurs apprécient le contenu et la ligne éditoriale.
Ils sont séduits par l’ouverture d’esprit , la variété des rubriques, la lisibilité, la pertinence des thèmes et la richesse du contenu . Le reproche consistant à dire que La Vie Protestante est trop ardue ou trop intellectuelle tombe de lui-même, puisque seuls 16,3% (NE) 12,8% (BE-JU) la considèrent comme rébarbative. Le fait d’être exigeant et de ne pas sombrer dans la facilité s’avère donc payant.
La Vie Protestante remplit son rôle de vitrine de l’Eglise dans la société d’aujourd’hui: la majorité des lecteurs la considèrent comme «variée» et «moderne» (90,1% NE / 85,5% BE-JU), ce qui est réjouissant dans une époque où l’on dit les Eglises traditionnelles en perte de vitesse, et où l’on reproche aux réformés leur manque de visibilité dans la société.
Les conclusions du rapport confortent les éditeurs et les rédacteurs dans le mandat qui leur a été confié par leur Eglise et les incitent à poursuivre la diffusion d’un regard protestant exigeant et ouvert sur la tradition et la modernité. Par ces résultats, la preuve est faite que l’Eglise réformée a vu juste en misant sur ce type de communication, et qu’elle a tout à y gagner en continuant de soutenir son effort pour produire un média de qualité.
Etonnant mais vrai : contrairement à ce que certains pourraient croire, La Vie Protestante n’est pas réservée aux personnes âgées ni aux piliers d’église. Tous les âges sont concernés, de manière assez homogène: les 36-50 ans représentent 29,9% (NE) 27,6% (BE-JU) des lecteurs, les 51-65 ans 27,8% (NE) 26,7% (BE-JU), les 66-80 ans 25% (NE) 23,3% (BE-JU), les 20-35 ans 11% (NE) 13,8% (BE-JU), les 81 ans et plus 6,3% (NE) 8,6% (BE-JU).
Elle ne se cantonne pas au cercle des fidèles du culte, mais touche aussi bien les actifs, les proches et les distancés de l’Eglise, ce qui signifie que l’effort consenti par les paroisses d’abonner tous leurs paroissiens s’avère payant, et que les sujets abordés intéressent un large public.
Autre bonne surprise: les insatisfaits sont rares, puisque seuls 3,6% (NE) 5% (BE-JU) ne s’estiment «pas du tout satisfaits», alors que 81% (NE) 87,5% (BE-JU) des lecteurs s’estiment ou «tout à fait satisfaits» (17,1% NE / 25% BE-JU) ou plutôt satisfaits (64% NE / 62,5% BE-JU). De plus, selon le rapport, les lecteurs sont réguliers, puisqu’ils sont deux tiers à lire la VP une fois par mois (69,8% NE / 66% BE-JU). Une vitrine moderneLa ligne éditoriale de La Vie Protestante, basée sur une réflexion ouverte alliant les problèmes de société, les questions religieuses et la vie des paroisses, se trouve fortement confortée par les résultats de cette étude. Les lecteurs apprécient le contenu et la ligne éditoriale.
Ils sont séduits par l’ouverture d’esprit , la variété des rubriques, la lisibilité, la pertinence des thèmes et la richesse du contenu . Le reproche consistant à dire que La Vie Protestante est trop ardue ou trop intellectuelle tombe de lui-même, puisque seuls 16,3% (NE) 12,8% (BE-JU) la considèrent comme rébarbative. Le fait d’être exigeant et de ne pas sombrer dans la facilité s’avère donc payant.
La Vie Protestante remplit son rôle de vitrine de l’Eglise dans la société d’aujourd’hui: la majorité des lecteurs la considèrent comme «variée» et «moderne» (90,1% NE / 85,5% BE-JU), ce qui est réjouissant dans une époque où l’on dit les Eglises traditionnelles en perte de vitesse, et où l’on reproche aux réformés leur manque de visibilité dans la société.
Les conclusions du rapport confortent les éditeurs et les rédacteurs dans le mandat qui leur a été confié par leur Eglise et les incitent à poursuivre la diffusion d’un regard protestant exigeant et ouvert sur la tradition et la modernité. Par ces résultats, la preuve est faite que l’Eglise réformée a vu juste en misant sur ce type de communication, et qu’elle a tout à y gagner en continuant de soutenir son effort pour produire un média de qualité.