19 septembre 2004: "Notre Jeûne fédéral" pour les enfants déshérités de la terre
14 septembre 2004
Le 19 septembre, le Comité romand « Notre Jeûne fédéral » consacrera sa campagne aux enfants en soutenant 5 projets menés au Brésil, en Colombie, au Kirghizistan, aux Philippines et en Tanzanie par Pain pour le Prochain, Action de Carême, Helvetas et Swissaid
Coup d’envoi de la campagne ce matin à Neuchâtel, où le comité cantonal s’efforce de sensibiliser les jeunes des écoles aux déséquilibres Nord Sud. Droits bafoués, survie problématique : plus d’un demi milliard d’enfants luttent chaque jour pour vivre avec moins d’un dollar par jour. Des millions d’enfants meurent chaque année à cause de la pauvreté. Et des dizaines de millions d’enfants souffrent de la faim, sont déportés, exploités, enrôlés de force dans l’armée, ne peuvent aller à l’école et n’ont pas accès à des soins de base. C’est à ces enfants que le comité romand « Notre Jeune fédéral 2004» a choisi cette année d’apporter son soutien, par le biais de projets menés sur le terrain au Brésil, en Colombie, au Kirghizistan, aux Philippines et en Tanzanie par ses 4 partenaires.
Aux Philippines, c’est Action de Carême qui travaille à la scolarisation des enfants de la minorité agta, exclue de l’école et cherche à préserver sa culture. Au Kirghizistan, Helvetas, autre organisation partenaire, cherche à stopper l’exode des jeunes vers les villes ou ils se retrouvent livrés à eux-mêmes, en leur proposant une formation agricole orientée sur le marché et en développant un système d’éducation professionnelle adapté.
En Colombie, Pain pour le Prochain (PPP) cofinance un programme de l’Entraide protestante suisse (EPER) d’aide aux déplacés et aux réfugiés, principalement des femmes et des enfants. Près de 3 millions de personnes ont été déportées dans leur propre pays par la guerre civile. Les enfants et les adolescents sont les plus touchés par la guerre. La mort, la souffrance et la violence font partie de leur quotidien et ils grandissent dans un climat de terreur. Les objectifs de Pain pour le Prochain sont de protéger des jeunes particulièrement affectés par la guerre et la violence et leur permettre d’entreprendre une formation et leur assurer un appui psychosocial. Au Brésil, l’organisation a pour objectif de donner une formation à 240 adolescents de milieux défavorisés et contribue à des cours d’alphabétisation pour les enfants des rues. Enfin en Tanzanie, en Afrique de l’est, Swissaid travaille à accueillir et à assurer le quotidien d’enfants orphelins du sida ou eux-mêmes porteurs du virus, à les protéger et à leur permettre de s'épanouir dans des orphelinats crèches.
Aux Philippines, c’est Action de Carême qui travaille à la scolarisation des enfants de la minorité agta, exclue de l’école et cherche à préserver sa culture. Au Kirghizistan, Helvetas, autre organisation partenaire, cherche à stopper l’exode des jeunes vers les villes ou ils se retrouvent livrés à eux-mêmes, en leur proposant une formation agricole orientée sur le marché et en développant un système d’éducation professionnelle adapté.
En Colombie, Pain pour le Prochain (PPP) cofinance un programme de l’Entraide protestante suisse (EPER) d’aide aux déplacés et aux réfugiés, principalement des femmes et des enfants. Près de 3 millions de personnes ont été déportées dans leur propre pays par la guerre civile. Les enfants et les adolescents sont les plus touchés par la guerre. La mort, la souffrance et la violence font partie de leur quotidien et ils grandissent dans un climat de terreur. Les objectifs de Pain pour le Prochain sont de protéger des jeunes particulièrement affectés par la guerre et la violence et leur permettre d’entreprendre une formation et leur assurer un appui psychosocial. Au Brésil, l’organisation a pour objectif de donner une formation à 240 adolescents de milieux défavorisés et contribue à des cours d’alphabétisation pour les enfants des rues. Enfin en Tanzanie, en Afrique de l’est, Swissaid travaille à accueillir et à assurer le quotidien d’enfants orphelins du sida ou eux-mêmes porteurs du virus, à les protéger et à leur permettre de s'épanouir dans des orphelinats crèches.
