Cinq cent cinquante jeunes pour la première « Journée des catéchismes » de l’Eglise réformée neuchâteloise
15 novembre 2007
Regrouper tous les catéchumènes du canton ainsi que 150 jeunes suivant une formation de moniteurs lors d’une célébration-spectacle, tel est l’objectif de la Journée des catéchismes
Elle se déroulera le 17 novembre dès 20h30, au Temple Farel de la Chaux-de-Fonds.C’est une première dans l’histoire de l’Eglise réformée évangélique du canton de Neuchâtel : faire se rencontrer les quelque 400 jeunes qui accomplissent leur dernière année de catéchisme, encadrés par les 150 volontaires qui suivent la formation de moniteurs de catéchisme durant trois ans, autour d’un projet commun. Le 17 novembre dès 20h30, au Temple Farel de La Chaux-de-Fonds, la célébration-spectacle « KT 07 » abordera le thème de la construction de l’identité à l’occasion d’un travail portant sur les disciples du Christ. « Nous voulons faire comprendre aux jeunes qu’ils ne sont pas isolés dans leurs paroisses, que ce sont eux qui forment l’Eglise cantonale », explique Daphné Reymond, aumônière cantonale de jeunesse qui, avec son prédécesseur Werner Habegger et le pasteur Fabrice Demarle, est à l’origine de l’événement.
« Le thème de la communion est un des éléments importants de ce que l’on appelait la journée de confirmation », poursuit Daphné Reymond. La Journée des catéchismes, axée sur la communion ou la cène, commencera dans chaque paroisse par la découverte de ce que les textes théologiques disent de chaque disciple, en soulignant ses points forts et ses faiblesses. De Pierre, à la fois courageux et lâche, à Judas auteur de la trahison en passant par Marie-Madeleine, tels qu’ils sont, avec leurs qualités et leurs défauts, ils ont été choisis par le Christ et chaque paroisse devra préparer une création artistique autour de ces différentes figures. Au cours de la célébration-spectacle, mise en scène par Robert Sandoz, un simulacre de recrutement devra évaluer la valeur de chaque disciple. Pour insister sur l’accueil de chacun, tel qu’il est, une communion à laquelle participent tous les jeunes constituera le point d’orgue de l’événement.
« Un spectacle théâtral permet de mieux motiver les jeunes, qui peuvent ainsi tisser des liens entre eux et apprendre à se connaître », estime Simon Vuilleumier. A seize ans et demi, il suit une formation de moniteur durant trois ans pour « mener des adolescents sur le chemin de la foi ». Il estime que « Bon nombre d’entre-eux pourront se reconnaître dans certains disciples qui ont douté ou péché ; il n’est pas besoin d’être parfait pour être accepté par le Christ ». Quant à Yannick Etter, l’un des catéchumènes participants, il se réjouit de cette occasion d’ « en apprendre un peu plus sur Dieu » tout en « faisant des rencontres sympas ».
« Le thème de la communion est un des éléments importants de ce que l’on appelait la journée de confirmation », poursuit Daphné Reymond. La Journée des catéchismes, axée sur la communion ou la cène, commencera dans chaque paroisse par la découverte de ce que les textes théologiques disent de chaque disciple, en soulignant ses points forts et ses faiblesses. De Pierre, à la fois courageux et lâche, à Judas auteur de la trahison en passant par Marie-Madeleine, tels qu’ils sont, avec leurs qualités et leurs défauts, ils ont été choisis par le Christ et chaque paroisse devra préparer une création artistique autour de ces différentes figures. Au cours de la célébration-spectacle, mise en scène par Robert Sandoz, un simulacre de recrutement devra évaluer la valeur de chaque disciple. Pour insister sur l’accueil de chacun, tel qu’il est, une communion à laquelle participent tous les jeunes constituera le point d’orgue de l’événement.
« Un spectacle théâtral permet de mieux motiver les jeunes, qui peuvent ainsi tisser des liens entre eux et apprendre à se connaître », estime Simon Vuilleumier. A seize ans et demi, il suit une formation de moniteur durant trois ans pour « mener des adolescents sur le chemin de la foi ». Il estime que « Bon nombre d’entre-eux pourront se reconnaître dans certains disciples qui ont douté ou péché ; il n’est pas besoin d’être parfait pour être accepté par le Christ ». Quant à Yannick Etter, l’un des catéchumènes participants, il se réjouit de cette occasion d’ « en apprendre un peu plus sur Dieu » tout en « faisant des rencontres sympas ».