Lausanne: Lumière sur la première Nuit des Eglises
24 janvier 2008
La première Nuit des Eglises aura lieu le 30 mai prochain à Lausanne, dans une quarantaine de lieux de culte
Toutes les confessions chrétiennes participent à l’événement: les Réformés, les catholiques romains, les orthodoxes, les évangéliques, les anglicans, ainsi que l’Armée du Salut. 150 lecteurs bénévoles se relayeront dans la cathédrale jusqu’à l’aube pour y lire la Bible à haute voix. De multiples animations auront lieu un peu partout dans le grand Lausanne, histoire de donner envie à un large public de (re)mettre les pieds dans une église. Conférence de presse ce matin à la cathédrale.« Le concept d’une Nuit des Eglises existe depuis plusieurs années en Allemagne et en Autriche, explique le pasteur Guy Dottrens qui préside le groupe œcuménique de coordination pour la Nuit des Eglises. A Vienne par exemple, qui a ouvert 200 églises au public l’an passé, l’événement a drainé 100'000 visiteurs ».
En Suisse, les Eglises de Saint-Gall se sont lancées dans l’aventure en 2005. Fort du succès de la manifestation, elles réitéreront l’aventure le 25 mai prochain. Les Eglises vaudoises, parrainées par le Conseil des Eglises Chrétiennes dans le Canton de Vaud, leur emboîtent le pas.
Le projet a d’emblée plu: 150 bénévoles se sont annoncés pour participer à l’organisation et à l’animation de la manifestation. Parmi eux, Angela Stival, de Crissier, qui a accueilli chez elle, en décembre dernier, deux Ukrainiennes, dans le cadre des Rencontres de Taizé. « J’ai eu envie de passer à l’action », confie-t-elle dans les travées de la cathédrale. Lorsqu’elle a eu vent du projet de la Nuit des Eglises lors d'une célébration oecuménique, elle a spontanément proposé ses services comme lectrice de la Bible à la cathédrale.
L’espace d’une nuit, de sept heures du soir à deux heures du matin, les églises de toute la ville, mais aussi du Grand-Lausanne et celle de Montheron, en tout une quarantaine de lieux de culte, ouvriront leurs portes à un large public, lui proposant une grande variété d’activités et d’animations. Au programme, des concerts, du théâtre, des ateliers de chant, de calligraphie, des moments de méditation, des contes, des visites guidées de l’église orthodoxe grecque de Florimont, de la chapelle roumaine de Montriond, d’une église catholique, d’un orgue.
L’imagination ne manque pas aux organisateurs pour accueillir un public qui ne vient pas forcément spontanément dans un sanctuaire ou seulement à l’occasion de services funèbres. Quant aux ressources, sur les 70'000 francs du budget de la manifestation, plus de la moitié a déjà été trouvée.
« Notre moteur n’est pas le souci des églises vides, mais la tendresse de Dieu, qui habite nos cœurs, explique Guy Dottrens. Notre objectif n’est pas de faire du prosélytisme mais de témoigner de l’ouverture des Eglises à Dieu, à l’autre, au questionnement, à la réconciliation, à la solidarité, à la fête, à l’émerveillement ».
Les Transports Lausannois se sont associés à cette Nuit des Eglises et proposeront des forfaits valables de 18h à minuit pour quatre francs. Une navette sera organisée pour rejoindre l’Abbaye de Montheron. Des stands d’information seront à la disposition du public, notamment à la gare de Lausanne et à St-Laurent.
En Suisse, les Eglises de Saint-Gall se sont lancées dans l’aventure en 2005. Fort du succès de la manifestation, elles réitéreront l’aventure le 25 mai prochain. Les Eglises vaudoises, parrainées par le Conseil des Eglises Chrétiennes dans le Canton de Vaud, leur emboîtent le pas.
Le projet a d’emblée plu: 150 bénévoles se sont annoncés pour participer à l’organisation et à l’animation de la manifestation. Parmi eux, Angela Stival, de Crissier, qui a accueilli chez elle, en décembre dernier, deux Ukrainiennes, dans le cadre des Rencontres de Taizé. « J’ai eu envie de passer à l’action », confie-t-elle dans les travées de la cathédrale. Lorsqu’elle a eu vent du projet de la Nuit des Eglises lors d'une célébration oecuménique, elle a spontanément proposé ses services comme lectrice de la Bible à la cathédrale.
L’espace d’une nuit, de sept heures du soir à deux heures du matin, les églises de toute la ville, mais aussi du Grand-Lausanne et celle de Montheron, en tout une quarantaine de lieux de culte, ouvriront leurs portes à un large public, lui proposant une grande variété d’activités et d’animations. Au programme, des concerts, du théâtre, des ateliers de chant, de calligraphie, des moments de méditation, des contes, des visites guidées de l’église orthodoxe grecque de Florimont, de la chapelle roumaine de Montriond, d’une église catholique, d’un orgue.
L’imagination ne manque pas aux organisateurs pour accueillir un public qui ne vient pas forcément spontanément dans un sanctuaire ou seulement à l’occasion de services funèbres. Quant aux ressources, sur les 70'000 francs du budget de la manifestation, plus de la moitié a déjà été trouvée.
« Notre moteur n’est pas le souci des églises vides, mais la tendresse de Dieu, qui habite nos cœurs, explique Guy Dottrens. Notre objectif n’est pas de faire du prosélytisme mais de témoigner de l’ouverture des Eglises à Dieu, à l’autre, au questionnement, à la réconciliation, à la solidarité, à la fête, à l’émerveillement ».
Les Transports Lausannois se sont associés à cette Nuit des Eglises et proposeront des forfaits valables de 18h à minuit pour quatre francs. Une navette sera organisée pour rejoindre l’Abbaye de Montheron. Des stands d’information seront à la disposition du public, notamment à la gare de Lausanne et à St-Laurent.